@Lacertamax merci pour la vidéo, je ne connaissais pas ce gars mais j’aime bien ce qu’il dit, même s’il ne donne pas suffisamment de clés à mon goût. J’ai déjà publié une seconde vidéo sur l’erreur sur ma chaîne YT (qui sera publiée vite sur PA) et qui parle notamment beaucoup d’expérience. Dans la 3ème je vais parler de droit à l’erreur, notamment pour les perfectionnistes. L’idée n’est pas de réinventer la roue. On sait en grande partie déjà tout ça. Mais le souci est que l’on a parfois tendance à oublier ces choses, notamment dans les moments difficiles. Je viens apporter mon discours, avec mes mots et mon énergie pour rappeler à ceux qui me suivent que derrière la douleur immédiate de l’erreur ou de l’échec, il y a aussi beaucoup de choses positives à percevoir et apprécier.
@greg31150 Oui tu fais ressortir un point important de ma vidéo et qui est mis en avant dans les dernières études en psychologie positive (cf Csikszentmihalyi, Seligman, Kotler, etc). Les gens qui restent dans leur zone de confort et qui ont un sentiment de stagnation de leur vie, ont subjectivement une perception de décroissance personnelle…Alors que les personnes, quelque soit le niveau auxquelles elles sont, qui font des progrès et le perçoivent ressentent une forme de FIERTE et de bonheur personnel.
Honnêtement, j’adore tout ce que tu dis sur ton introspection. Tu fais preuve de beaucoup de sincérité avec toi même et je pense que tu es en train de lever des voiles. Au moins tu te poses, à mes yeux, de bonnes questions, sans rester caché derrière des représentations qui, encore à mes yeux ^^, peuvent être dépassées.
Le besoin de sécurité est ancré en nous depuis notre cerveau reptilien et la nuit des temps. Nous sommes ainsi, d’un point de vue inconscient, designer pour assurer notre survie matérielle et émotionnelle. Les peurs ont ce rôle là de nous protéger. Encore heureux! Et merci à ces émotions de nous alerter. Mais doit-on alors leur être soumis ensuite? Une fois leurs messages reçus et perçus, ne pouvons-nous prendre des décisions autres en pleine conscience?
Les outils que j’utilise pour accepter ses peurs, aimer ses peurs les écouter mais aussi les dépasser vont effectivement dans le sens de notre évolution personnelle. Qui l’on veut devenir au fond de notre cœur? Comment peut on redéfinir le langage de la peur? Comment agir quand la peur nous assaille?
Tout cela peut paraître “haut perché”, mais quand on a la tête dans les nuages et les pieds bien sur terre, à travers des actions et de la productivité, on peut faire de très jolies choses dans notre vie…
Tu as complètement raison dans l’annexe sur les enfants. Même si leur cerveau est bien plus malléable et peut construire des réseaux neuronaux plus facilement, ils ne sont pas encore vraiment conditionnés par l’EGO et toutes les croyances limitantes de leur environnement. C’est pour ça qu’il est important, pour moi, de rester connecté à son enfant intérieur. Et un enfant, il rêve, il imagine, il créée. Redevenons des enfants pour être certain que ce que nous croyons impossible, l’est vraiment! (Attention, tout n’est pas possible, ce n’est pas mon propos, mais surement bien plus qu’on ne le pense en général).
Bravo à toi encore une fois pour ces prises de conscience que tu nous partages.
@GaleNMaaRek Je ne suis pas d’accord avec toi, les enfants qui n’osent pas (d’une façon général) apprennent bien moins vite, je le constate tous les jours. Les différences dans la plasticité cérébrale sont bien plus mineures qu’on ne le pensent. Beaucoup d’adultes se servent de cette croyance pour…ne pas apprendre.
Tout à fait d’accord avec Elrix, le climat bienveillant est un accélérateur d’apprentissage. L’école et les parents devraient moins systématiser l’erreur au profit des tentatives et des efforts. Je pense que la pédagogie actuelle va dans ce sens. Mais on a du taf!