Ma réponse avec du retard, travail oblige.
Donc, effectivement, dans mon expérience personnelle, l’apprentissage des techniques de communication et d’aide à la personne, telles que synthétisées par les psychologues dans les années 50 et jusqu’à nos jours, m’ont permis de grandement améliorer la gestion des émotions dans mon travail et dans ma vie. Mais la gestion des émotions ne fait pas tout, c’est juste là où j’ai le plus progressé. Je te rejoins donc, c’est un tout.
Je ne suis pas coach de joueurs ou de sportifs mais je peux dire que je coache en quelques sortes des patients tout l’année (pas loin de 2000/an à la louche).
Patients, sportifs, joueurs, élèves, … on parle de la même chose : la relation d’aide.
Donc, dans la mesure du possible, j’aimerai partager avec les académiciens certaines astuces permettant de gérer mieux ses émotions. Il faudra par contre être patient, faute d’un emploi du temps souple 
.
@Kalys : en parlant de croyance, je ne faisais que lancer une perche à Valou. Je vois tous les jours des croyances (je ne parle pas de religion) et c’est primordial de les identifier. Il y a deux types de croyances : limitatives et facilitatrices. Un exemple en médecine, dans le cadre des accouchements lorsque je vois en consultation préanesthésique les femmes enceintes :
- croyance limitative : je n’y arriverai jamais car je ne sais pas gérer la douleur
- croyance facilitatrice : j’ai un seuil de tolérance à la douleur très importante, je n’appréhende pas l’accouchement.
Je ne développerai pas plus ; je ne suis pas psychologue. Je connais juste des outils pour contourner les croyances limitatives que l’on retrouve dans tous les domaines cités ci-dessus : jeu, sport, éducation, santé, …
A+
PS : @Valou29, tu es du 29 ? J’ai fait mon internat à Brest.