La question a souvent été abordée sur le forum et notamment ici :
Il s’y disait entre autre que si Equilab est un outil d’apprentissage intéressant, il faut quand même se méfier des ranges et équités qu’il propose.
En « jouant » avec (pas in game, c’est interdit ), je suis tombé sur ceci et ça me questionne.
Remarque : C’était suite à un thread plus récent concernant les KK qu’on ne devrait (quasi) jamais fold. Et où @chawarmaa avait évoqué l’éventualité d’un field qui serait prêt à go broke A5s.
Si on met Equilab en short-handed, 6 max, voici ce qu’il donne comme équité PF pour CO avec KK vs A5s pour BU.
Alors déjà que je trouve bizarre que ce soit exactement pareil, il me semble que le fait que 6 joueurs (notamment LJ et HJ) plutôt que 2 (en EP) aient fold avant devrait réduire considérablement les probabilités que ceux-ci aient eu un Ax en main.
Et que ça devrait augmenter les probabilités qu’il en reste plus souvent 3 que 2 dans le paquet, non ?
Les matheux me contrediront au besoin mais je pense que ça devrait faire une différence au moins aussi considérable.
Qu’est-ce que ça donne en BvB ? Y a qu’à demander…
Salut,
Tu poses la même question à chaque fois à savoir l’équité d’une main à 6 combos contre une autre à 4 combos, les autres ne sont pas dans le coup pour jouer la main donc on s’en fout puisqu’ils ont fold.
D’ailleurs dans l’exemple de l’encart hero donne des ranges avec un entonnoir inversé, il a ajouté des combos qu’il n’avait pas dans sa range initiale.
@TBlurn …recentre toi…regarde ce que tu fais, réfléchis bien à ce que tu fais, à ce que tu demandes, verbalise ce qui est en train de se produire, prends la mesure de l’évènement qui apparaît devant toi. En son εἶδος, qu’es-tu en train de demander au logiciel ? Et par delà cette question, prends conscience que ce logiciel est un étant alors que tu es et tu es d’ailleurs le seul à savoir que tu es (même si on pourrait débattre de cela concernant certaines espèces animales mais ce n’est pas ce qui nous occupe). Tu demandes à un logiciel d’advenir un Dasein par le truchement du non dit qu’il devrait métaboliser pour advenir à un dit que tu attends mais qui n’est au final que ta projection de la finitude de ton être car dans cette dialectique, tu es et restera le seul Dasein. Ne t’étonnes pas que n’étant pas ce qu’il ne pouvait être, la réponse n’est pas idoine à la vue de ton esprit. Je t’en conjure de nouveau, je l’implore : fais toi la promesse de te recentrer, pratique l’ἐποχή quand tu pratiques l’Equilab et cochon qui s’en dédit !
Tu m’as tué avec ta réponse @Freudinou, tu n’as pas de pitié pour les cerveaux de ceux qui émergent tard, il me faut encore 2 ou 3 cafés à cette heure pour lire ta réponse bien qu’adaptée à ton interlocuteur dans le style.
Moi aussi je suis en train d’émerger mais la connerie chez moi fait partie des processus inconscients et automatisés d’où ma facilité naturelle à sortir ça en début de journée
Même si les autres joueurs à table ont 2 cartes à 6 ça fait 8 cartes en moins, à 8 ça fait 12 cartes en moins et à 10 16 cartes en moins dans le paquet Equilab ne les prend pas en compte.
@Freudinou Pour ma part j’aurais fait tapis. Kant aurait certainement fait la même chose, se disant que ce n’est pas nécessaire mais possible, et surtout que c’est la meilleure façon de se sentir être à défaut de l’être vraiment.
Je ne pense pas que l’idée était de "tuer " qui que ce soit.
Mais pour le coup (Aïe, pas sur la tête svp) je vais quand même prendre le temps de relire la notice.
Le diagnostic, c’est une chose. Et ça commence souvent par là.
Après et quels que soient les principes actifs du traitement prescrit par le thérapeute, une posologie savamment adaptée au malade (j’assume) ne saurait pas faire de tort non plus.
Je ne suis pas fondamentalement contre cet perspective à condition d’analyser que l’absolu ne doit pas être annihilé par l’illusoire précarité de nos amours destitués. Et vice et versa.
Ca me paraît évident, mais ça va mieux en le disant.
Je suis aussi confus par les diacritiques d’εἶδος et ἐποχή, je ne sais pas si elles étaient présentes du temps de Platon (est-ce qu’un spécialiste de l’évolution de la calligraphie helléniste passant par là pourra m’en dire plus ?) donc je me demande si c’est une suggestion subtile de @Freudinou de les considérer au sens moderne du terme ?
Cela ne répond pas à ma question, car je m’intéressais littéralement à la forme : pourquoi εἶδος et non le supposé contemporain ειδος ? Et tant qu’à faire, pourquoi cette graphie du ς de fin de mot ? Était-elle usuelle chez Platon et Aristote ? Pourquoi pas par exemple un ϲ lunaire ?
Peut-être parce qu’on risquerait parfois de l’écrire à l’envers.
D’où l’expression « Couillon de la lune ».
En vous remerciant pour vos réponses et pour en revenir au titre du sujet, je voudrais quand même préciser qu’il n’avait pas la prétention de s’adresser à des joueurs de votre niveau.
Alors, pour ceux dont celui-ci serait moindre (et il doit bien y en avoir quelques-uns vu le vôtre ) :