Hello j’ai découvert le nouveau challenge de Doug Polk sur le CP et je veux prouver comme lui que même de nos jours sur le .fr avec un petit capital de départ il est encore possible de monter une bonne bankroll.
Je suis un reg gagnant de mtt jusqu’au 100€,
J’ai un taf à coté, je n’ai donc pas d’impératif financier,
J’menmerde en ce moment, la mot n’est plus trop la,
J’ai donc décidé de faire le même challenge que lui :laugh:
Je vais donc commencer le challenge d’ici une quinzaine de jours, gestion ultra aggro de BR au début, ayant 25% d’itm sur party je commencerais avec les MTT 3€ deesptack vu qu’en dessous les euros gagnants sont ultra high variance et sont de vraies boucheries,
Je jouerais également des DON 1€, 3€, 5€ jusqu’à 200/300€ (5 ans que j’ai pas joués de SNG mais bon à ces limites le niveau n’a pas du trop changés je pense)
Peut-être un peu de Fast Poker aussi.
Après ca sera only MTT, only sur party jusqu’à environ 1K€(voir sur wina les petits fields 100 joueurs moins ) avec toujours un BRM agro.
Je vais commencer par déposer 100€ sur PMU poker, profiter des 20€ du premier dépot, ainsi que les missions SNG/MTT, avec tout ça je devrais arriver sous 15 jours à doubler mon capital de départ,
Voilà si vous avez des questions n’hésitez pas, je vous mets ci dessous une partie de l’article du cp,
à la prochaine
PS: pas vraiment de limite de temps, mais d’ici un an max ça sera bouclé
Transformer une petite bankroll en un capital de 10 000 ou 100 000 $ : voilà un défi auquel se sont attelés de nombreux joueurs au fil des années (Chris Ferguson, Daniel Negreanu…). Doug Polk se lance à son tour dans l’aventure avec la volonté de prouver que l’écosystème actuel du poker en ligne peut encore être profitable.
Je me suis lancé dans ce challenge parce que je veux prouver que, même dans l’écosystème actuel compliqué du poker en ligne, un petit grinder plein d’espoir peut encore monter une bankroll. Les beaux jours du boum du poker sont peut-être derrière nous, mais ça ne signifie pas pour autant que nous devons abandonner ou mettre notre échec sur le dos du système. DOUG POLK