On pourrait, c’est vrai, se poser la question de savoir s’il est vraiment déterminant que les poires soient d’arrière-saison (bien mûres, voire limite « sales gueules »), ou le porto de 12 ans d’âge.
J’ai bien ma petite idée sinon je ne l’aurais pas précisé.
Mais jusque-là, je trouve ça beau comme un carré d’As.
Et à ce jeu-là, avec les ami(e)s avec qui j’aime partager tout ça, c’est pas demain que je perdrai sur le long terme.