Désolé d’avoir été si long pour poster la suite.
La seconde section du jeu post-flop sera séparée en deux parties:
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Aborder les différents types de flops. (ce post-ci)
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Les différentes situations post-flop. (le prochain post, qui sera le plus long).
Ce post est encore assez brouillon et je me répète un peu trop.
[quote][center]Schémas de jeu post-flop[/center]
Dans le chapitre I sur les ranges PF, j’ai déjà un peu parlé des stratégies post-flop à adopter avec certains types de mains. Je vais maintenant détailler un peu plus les schémas de jeu selon la texture du flop, l’évolution du tableau et les informations recueillies sur la force des mains de nos adversaires.
Je vais présenter des schémas jeu standards et solides qui seront la plupart du temps corrects. Mais je ne donne pas de recettes magiques et vous serez régulièrement confrontés à des situations qui sortent des exemples donnés. Vous aurez ici une base assez solide pour vous aider à prendre de bonnes décisions en général, mais n’hésitez pas à en sortir si vous pensez qu’un autre plan est plus profitable. Comme je l’ai déjà dit utilisez vos reads pour choisir des lines alternatives si elles sont plus profitables (et pas parce qu’elles sont funkies…). Il faut tester et voir ce qui marche. Avec l’expérience vous apprendrez à reconnaître les bonnes situations, ici je ne vous donne que des lignes directives et vous apprendrez ensuite à bien sélectionner les spots EV+ de ceux qui ne le sont pas. Je pense en particulier aux bluffs dans les pots orphelins. Au début vous ne saurez pas quand essayer de les voler, puis vous ferez des essais, et enfin vous saurez reconnaître les bonnes situations.
Voici d’abord quelques conseils simples:
Décisions faciles > décisions les plus EV+ quand on débute. En NL2 simplifiez-vous la vie et ne cherchez pas midi à quatorze heure. Votre but est de monter rapidement et facilement une bankroll pour aller jouer à des limites plus motivantes. En général l’over-thinking engendré par des lines plus difficiles à jouées vous fera perdre de l’argent en micro limites. Pas de hero call “parce que vous avez sous-représenté votre main” par exemple.
N’ayez pas peur de vous faire exploiter. C’était valable PF et ça l’est encore plus post-flop. Si un joueur vous exploite c’est qu’il est meilleur que vous. Ne cherchez pas à vous défendre coûte que coûte, vous allez vous mettre à spew car vous n’avez pas encore les armes nécessaires pour vous défendre. Et même si vous les aviez vous seriez quand même perdant à cause du rake. Vous apprendrez à vous défendre contre les bons joueurs au fur et à mesure que vous monterez de limites, pour l’instant concentrez-vous sur les mauvais joueurs (récréatifs et mauvais regs) et évitez au maximum de jouer des coups contre les bons joueurs, encore mieux essayez de ne pas être à leurs tables (ou du moins de ne pas les avoir à votre gauche).
Décidez très vite si vous voulez vous engager dans le pot. Si le coup va être compliqué à jouer: GU rapidement. Typiquement avec une petite paire ou un draw faible. De même en multiway dans les pots relancés abandonnez dès le flop vos jeux moyens. Il faut que vous sachiez give up assez tôt dans un spot marginal: abandonner tout de suite plutôt que call une fois (voir deux) et trop souvent devoir folder ensuite. Dit autrement, si vous sentez que le coup va être difficile à jouer les tours suivants, foldez tout de suite. Exemple: avec ##8s##8c sur ##Qh##Td##2d, Vilain récréatif donk bet assez cher, foldez tout de suite.
N’engagez pas votre tapis contre un reg avec une simple paire dans un pot non 3bet et sachez reconnaître le seuil d’engagement (1/4 à 1/3 du stack effectif). C’est pour ça qu’un raise au flop et un raise au turn n’ont pas le même poids. Vous pouvez call un raise au flop avec top pair good kicker (sauf contre joueur passif) et voir ce qu’il se passe ensuite (et savoir lâcher si Vilain continue à montrer de la force), mais pas au turn contre un full-stack (sauf read particulier).
La règle de base post flop en NL2 (et en NL4/5) est la value grasse. Peu de lines alternatives, on value bet nos bonnes mains: tant que Vilain ne montre pas de force considérez qu’il n’a pas une main forte et que vous êtes devant avec TPGK (top pair good kicker). Vous allez bet deux ou trois streets en vous demandant “quelles mains moins bonnes dans son range a-t-il avec lesquelles il peut payer?”. Le profil de Vilain est donc important, et il ne suffit pas de savoir s’il s’agit d’un reg ou d’un récréatif. Sur QT224 avec QJ, certaines baleines auront des Q3o ou des Tx et vous payeront avec trois streets, mais beaucoup de récréatifs n’auront pas moins bien que Q9 ou Q8 et ne vous payeront pas trois streets avec ces mains ou avec un T. De la même façon avec AJ au CO sur AT778 contre un reg on n’aura pas plus de deux streets de value si notre image est un minimum sérieuse. L’idée à retenir c’est de prendre en compte la force relative de notre main contre le calling range de Vilain selon son profil plus ou moins loose/CS.
Avec quoi go broke minimum?
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En SRP* vs short stack: TP+. Parfois des 2[sup]nd[/sup] pair solides si Vilain est très short ou très agressif.
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En SRP vs full stack: TPGK à set+ selon le profil de Vilain et la texture du flop. Parfois un set pourra être foldé sur des tableaux très scary (suite ou couleur à une carte) ou contre des adversaires très passifs si votre set est battu par des str8 (straights = suites) ou des flushs (couleurs).
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En 3bet pot: TPGK à DP selon le profil de Vilain, la texture du flop et les actions précédentes.
*: SPR: Simple Raise pot. Pots simplement relancés à différencier des pots limpés et des pots 3bet+.
1) Aborder les différents types de flop.
Avant de développer les schémas de jeu par situation, je vais parler de la façon d’aborder les différents types de flop. L’idée principale à retenir est qu’il faut évaluer les flops selon la façon dont ils percutent les ranges. Nous les évaluerons selon une sorte d’échelle de connectivité allant de très connecté à pas du tout connecté en prenant aussi en considération la hauteur des cartes. Plus le flop est connecté (drawy) avec des cartes hautes/moyennes plus il touche les ranges (surtout de défense), et plus il est déconnecté (dry = sec) avec une seule carte haute moins il les touche. Je vous conseille de faire beaucoup de simulations sur un calculateur d’équité pour vous rendre compte à quel point tel ou tel flop percute tel ou tel range.
- Flops drawy (cartes connectées moyennes à hautes).
Les trois cartes sont assez proches. S’il y a un flush draw possible cela renforce la connectivité du flop. En particulier les flops avec trois cartes différentes moyennes à hautes dont deux consécutives et deux gaps maximum avec la troisième (s’il n’y a qu’un seul gap ou pas du tout le flop devient hyper connecté). Exemples: Flop très connecté: ##Js##Ts##8h Flops connectés: ##Qs##Jh##8c. Sur ces deux exemples de flops, un range classique de défense a hit fortement (top pair ou bon draw) respectivement 70% et 59% environ, et un range classique d’open du CO 64% et 49% environ.
Comme ces flops touchent fortement les ranges de défense nous blufferons peu en étant le relanceur PF et ne jouerons que l’équité de notre main. Si on a complètement miss ou qu’on a qu’une faible showdown value (SV) on GU dès le flop. Mais en HU sur les tableaux pas trop drawy, si Vilain ne mise pas, vous pourrez parfois bet turn + river pour faire fold des hauteur As et des low pairs si le board ne se connecte pas encore plus au turn et à la river.
Par contre si vous êtes le défenseur PF vous pourrez souvent bluffer ces flops si votre adversaire représente de la faiblesse et vous miserez quasi systématiquement au flop s’il check.
Si vous avez une main moyenne (2[sup]nd[/sup] pair good kicker à TPTK) en étant attaquant PF misez flop + turn 3/4 pot (en bet/fold sauf vs Vilain short stack contre qui vous pourrez bet/call avec TPGK+). River si les draws ne rentrent pas, IP misez (bet/fold) 1/4 à 1/2 pot avec TPGK si Vilain peut encore vous payer avec moins bien, et OOP misez 1/4 à 1/2 pot (bet/fold) avec TPGK si Vilain est passif et check/call (c/c) si Vilain est agro. Passez en c/f avec moins bien. Si les draws rentrent, IP vous allez check behind (check derrière le check de Vilain = c/b) sauf contre une baleine passive très CS contre qui vous pouvez éventuellement misez 1/4 à 1/3 pot (bet/fold) et c/f OOP (sauf contre très petite mise). Si vous êtes défenseur ne suivez un bet qu’avec TP+ (top pair ou mieux) ou un draw, suivez au turn qu’avec TPGK+ (IP vous pourrez encore suivre avec certains draws si vous avez les cotes mais en général vous les abandonnerez), et à la river qu’avec TPTK+ (vs NIT ou reg weak ne suivez qu’avec de très gros jeux) si les draws ne rentrent pas.
Avec vos mains fortes (double paire et mieux = DP+): bet 3/4 pot à pot sur 3 streets si les draws miss (c/r river avec top DP+ contre Vilain agro), mais soyez méfiant si les draws rentrent si vous n’avez pas les nuts et n’engagez pas votre tapis. Par exemple si un draw rentre misez moins cher (1/2 pot à 2/3 pot) et n’hésitez pas à passer en c/f si le board devient horrible (tous les draws rentrent ou 4 cartes connectées). Avec une faible DP, même si les draws ne rentrent pas restez aussi méfiant et n’engagez votre tapis que contre des joueurs qui over-play leurs mains. Si vous êtes défenseur: raise et prêt à stack off dès le flop avec DP+ et très gros draws.
Pour les sizings faites 2/3 pot en bluff ou avec des mains moyennes et 3/4 pot à pot avec des mains fortes. Contre de bons regs capables de noter vos sizing patterns, gardez les mêmes sizings en bluff et en value et faites au moins 3/4 pot.
Sur les flops hyper-drawy (par exemple avec 3 cartes moyennes/hautes consécutives avec un FD possible), soyez encore plus prudent et la valeur de votre main devra être encore plus forte pour miser ou suivre, une bottom DP (douple paire basse) devient une main relativement moyenne.
- Flops semi-drawy. Les flops les plus courants. Sauf pour les raises CBet, les conseils prodigués ici seront souvent aussi valables sur les flops secs. Ces flops n’ont pas tous le même degré de “drawytude” et il vous faudra du temps pour bien savoir comment bien les aborder selon leur connectivité et la hauteur de leurs cartes.
C’est le type de flop où il y a quelques draws possibles avec seulement deux cartes connectées et où un raise CBet peut représenter plusieurs mains fortes dont au moins une double pair (DP). Exemples: ##Qs##Js##5c ou ##Ts##9d##2h ou encore ##Qs##9h##2s. Sur ces trois exemples de flops, un range classique de défense a hit respectivement 35%, 34% et 35%. Et un range classique d’open du CO 36% sur les trois flops.
Si vous êtes défenseur PF:
-> Le raise CBet.
Typiquement des flops qui seront assez souvent CBet (souvent trop) par vos adversaires et que vous-même allez souvent CBet contre un seul adversaire en value comme en bluff. Mais ce sont aussi des flops que l’on pourra raise en bluff si on est défenseur PF en représentant des mains crédibles. Soyez très attentifs aux sizings. Comme il y a quelques draws possibles les Vilains auront souvent tendance à faire plus cher en value et moins cher en bluff ou avec des mains assez faibles. Si votre raise est suivi abandonnez vos bluffs si la turn n’est pas scary pour votre adversaire ou n’augmente pas votre équité (backdoors). Pour vos draws, vous ne raiserez les CBets qu’avec les draws faibles (type gutshot + backdoors ou over-cards + backdoors ou encore low flush draws) que vous pouvez facilement abandonner par la suite (aucune showdown value), par exemple si Vilain vous re-raise (vous n’abandonnez pas une bonne équité). Vous suivrez généralement les CBets avec vos draws moyens (8-9 outs). Vous allez donc raise des mains avec lesquelles vous n’êtes pas ennuyé face à un re-raise: des bluffs ou des draws faibles que vous folderez sans états d’âme, et des mains très fortes avec lesquelles vous êtes prêt à stack off. Cependant avec ces dernières il est souvent préférable de just call si Vilain CBet et barrel beaucoup (il a beaucoup de mains faibles que l’on veut garder).
-> Avec quoi call et combien de streets?
Vous suivrez une mise avec 2[sup]nd[/sup] pair+ (en HU seulement), deux mises avec TP+ (top paire et mieux) et trois mises avec TPTK+ (vs NIT ou reg weak ne suivez qu’avec DP+, parfois avec over-pair si celle-ci est très solide (QQ+), voir TPTK solide (Q+) si Vilain n’a pas open en EP et ne trahi pas une main forte par un gros sizing). Si Vilain ne mise pas jouez comme si vous étiez attaquant PF.
Si vous êtes attaquant PF:
Si vous avez miss (raté le flop), un CBet en bluff et ne continuez que sur une scary card au turn (montante).
Si vous avez un draw: misez 2/3 pot au flop. Au turn si vous avez miss: IP vous allez check behind (c/b) sauf sur scary card (bet/fold 2/3 pot), OOP vous allez bet/fold (bet et fold sur un raise, sauf si vous avez les cotes) 2/3 pot sur scary card et avec vos bons draws et GU sur blank avec vos mauvais draws (gutshots sans over-cards). River vous allez abandonner (GU) si vous avez miss.
Si vous avez une showdown value faible (low pair ou hauteur AS) vous allez miser essentiellement pour capitaliser la dead money. Donc si vous ne pensez pas y arriver (que Vilain va peu folder), essayez d’aller au showdown gratuitement.
Si vous avez une main moyenne (2[sup]nd[/sup]pair à TPWK) les choses se compliquent: IP vous allez c/b si vous ne pensez pas avoir de value sur un draw ou une main faite moins bonne. OOP vous allez bet/fold 2/3 pot (essentiellement pour capitaliser la dead money) ou c/c si votre main est solide (WA/WB). Au turn s’il n’y a eu aucune mise au flop vous pourrez call un bet (et GU river sauf avec TP vs joueur suffisamment agro), ou miser vous-même (bet/fold 2/3 pot) et miser encore une fois (bet/fold 2/3) à la river avec top pair (TP), voir 2[sup]nd[/sup] pair si elle est suffisamment haute et avec un bon kicker. Si vous avez misé ou suivi au flop, passez en mode GU avec moins bien que TP et suivez un bet avec TP si le kicker n’est pas trop bas (plus la mise de Vilain sera haute plus vous aurez besoin d’un bon kicker pour suivre). La plupart des Vilains en NL2 n’oseront pas miser encore à la river en bluff et vous pourrez facilement GU river avec TPWK- (moins bien que top pair weak kicker). L’idée à retenir est d’essayer de jouer un pot petit à moyen soit en value bet thin soit en bluff catch, mais d’abandonner si le pot devient trop gros.
Si vous avez une bonne main (TPGK à over-pair solide), vous miserez 2/3 à 3/4 pot (plus cher contre les CS) sur trois streets en mode bet/fold (sauf contre short stacks où vous irez à tapis).
Si vous avez un monstre (top double pair et mieux) ne vous posez pas de questions et misez trois streets au moins 2/3 à 3/4 pot. Plus Vilain est CS et plus vous miserez cher, vous pourrez même parfois over-bet à tapis à la river si vous voyez plusieurs mains moins bonnes qui peuvent payer. Contre des joueurs très agressifs vous pourrez parfois check/raise (c/r) au turn (environ trois fois le montant de la mise adverse) pour shove à la river. Si vous prenez un baluga au turn (c’est à dire si Vilain raise votre 2 barrel): si vous êtes IP et nutsé, qu’il n’y a pas de draws et qu’il reste un pots size bet river, vous pouvez vous contenter de just call le re-raise, c’est l’un des rare cas où vous pouvez slowplayer).
- Flops dry (ou secs). Aucun draw possible (27% des flops).
Exemple: ##Ks##7c##2h. Sur cet exemple de flop, un range classique de défense a hit 20% et un range classique d’open du CO 22%.
A jouer à peu près comme les flops précédents sauf pour les raises CBets et les sizings. Théoriquement vous ne pouvez pas raise les CBets car vous ne représentez rien (vous ne joueriez jamais vos gros jeux de cette façon, et en plus vous en avez peu puisqu’il n’y a pas de DP possible). Cependant si vous avez des reads suffisamment solides (notamment sur les sizings de vos adversaires) et pensez pouvoir le bluffer, allez-y puisqu’il aura lui-même peu souvent touché le flop.
Pour les sizings, alors que sur les flops semi-drawy nous faisions 2/3 pot en bluff et avec des mains moyennes et au moins 3/4 pot avec des mains fortes, sur les flops dry nous ferons entre 1/2 pot et 60% du pot en bluff et avec des mains moyennes, et 2/3 pot à 3/4 pot avec des mains fortes. Contre les Vilains compétents nous garderons les mêmes sizings en bluff et en value.
- Flops particuliers: flops monocolores et flops avec triplette.
Pour les flops monocolores on va tenir compte de la connectivité des cartes pour choisir comment les jouer. Si elles sont connectées on va les jouer comme les flops drawy. Si le flop est dry par ailleurs on va le jouer à peu près comme les flops semi-drawy contre les regs mais être plus prudent contre les récréatifs qui ont tendance à call avec n’importe quelle carte de la couleur affichée. Par exemple on va CBet en bluff contre un reg mais préférer un delayed CBet contre un récréatif (avec souvent un bet river).
Les flops avec triplette seront joués comme des flops très secs mais avec la particularité que les Vilains serons plus suspicieux et vous suivront de manière plus loose, en particulier les récréatifs qui risquent de difficilement abandonner une paire servie ou de grosses over-cards. Mais leurs ranges étant looses le CBet en bluff reste bon. Contre les joueurs très looses et agressifs il faudra de temps en temps être capable de faire de petits hero calls. Par exemple contre un 40/20 agressif post-flop et qui fold peu sur les CBets, avec AK sur 888, on va CBet au flop, check behind (c/b) au turn, et call un bet river.
- De l’importance du détail. Voici plusieurs flops se ressemblant mais qui percutent différemment les ranges (défenseur / attaquant) afin que vous compreniez bien comment une seule carte du flop peut tout changer. On voit par exemple qu’un CBet en bluff est bon sur QJ7r mais très mauvais sur QJ9r.
##Qs##Jh##6c: 34% / 30%
##Qs##Jh##7c: 34% / 30%
##Qs##Jh##8c: 59% / 48%
##Qs##Jh##9c: 67% / 53%
##Qs##Jh##Tc: 74% / 75%
##Qs##Js##Tc: 74% / 78%
##Qs##Js##Ts: 58% / 67%[/quote]
[quote][/quote]
[quote=“booba, post:829945”]Par contre, l’infinitif n’existe pas dans la langue manouche.
“Marav la NL2” tout simplement :D[/quote]
N’étant pas vraiment manouche je crois que je vais garder la version francisée (je ne connaissais même pas les racines du mot!). Même si je dois dire que “Marav la NL2” ça sonne pas mal…