Salut tous,
On dit souvent, et à raison, que le mental est très important au poker.
Pour se mettre dans de bonnes conditions de jeu avant de commencer une session, avec des objectifs de progression bien identifiés, pour pouvoir supporter la variance, ne pas succomber au tilt et tout ça.
On dit aussi, et avec tout autant de raison, que le travail hors table est indispensable.
Dans le sens le plus littéral du terme et qui signifie qu’on ne peut pas s’en dispenser si on veut progresser et donc « réussir ».
Ce dont je ne me suis vraiment rendu compte qu’il y a peu, dois-je l’avouer.
Mais à partir du moment où on considère (et accepte) que le poker sera toujours un jeu , qui ne sera jamais tout à fait résolu (même par la GTO et si on joue 100.000 ans vu qu’il y a aura souvent au moins un jour après) ; il y a une autre dimension dont on parle assez peu et qui me semble pourtant non négligeable, c’est celle du plaisir.
Je m’explique, enfin j’essaye , en partant du sport.
En athlétisme, un gars qui s’entraîne tous les jours pour faire les meilleurs résultats possibles sur 100m, il le fait et avec plaisir, c’est sûr.
Mais en compétition, pendant la course, je pense pas qu’il ait trop le temps de vraiment kiffer le truc.
Il donne tout et c’est pour ça qu’il a bossé avant.
Au foot, au basket, peu importe, on sait aussi qu’il faut bosser fort (physiquement, techniquement et tactiquement) pour réussir au plus haut niveau. Et que les « dons », quels qu’ils soient, n’y suffiront pas.
Mais là, et si on l’a fait, la notion de plaisir du jeu peut faire la différence.
Je ne sais pas si vous voyez où je veux en venir alors je vous propose un petit sondage.
Pas d’inquiétude, c’est gratuit et ça ne fait pas mal.
Qui, selon vous, pourrait coller le mieux à ce concept hautement novateur ?
- Speedy Gonzales
- Usain Bolt
- Mon chien quand je lui lance une balle (ou autre chose)
- Lionel Messi
- Moi quand j’essaye de reprendre la balle à mon chien (ou autre chose)
0 votant
Le nombre de choix est limité à 5. Quand c’est gratuit, faut pas se gêner.