Apparemment ce thread je l’ai lancé d’un manière un peu sec. En mettant exclusivement le contenu.
Je fait donc une légère introduction:
Je me suis rendu compte que ce livre n’existait pas en français, et suite à la demande d’un membre qui a fait beaucoup pour ma progression au poker, je décide de faire un résumé de ce livre pour faire profiter toute la communauté PA qui ne maitrise pas l’anglais(ou le Russe ). Je vous conseille donc fortement après la lecture de ce résumé d’acheter ce livre(qu’on vienne pas m’embeter pour ce résumé xD )
Je résumerais les parties les plus importantes seulement car les autres, la plupart les maitrise déjà ou peut les trouver sur tous les sites de poker et sur PA notamment.
[b][i]Organisation du livre :
Introduction
Part One : The Basics (Les bases) Non traitée
Part Two : The Fundamentals (Les fondamentaux) Non traitée
Part Three : The REM Process (Range, Equity, Maximize) Résumée
Part Four : Planning Hands around commitement (Planifier ses mains) Résumée
Part Five : Planning in Practice (Planifier ses mains : exemples ) Non traitée
[/i][/b]
REM ou Range Equity Maximise
Introduction
C’est un processus de pensée qu’un bon joueur de poker utilise afin de maximiser ses gains sur le long terme. Pour vous préparer à cette notion nous allons l’introduire avec un petit exemple.
Imaginez que vous connaissez la main de votre adversaire. Il raise à 3bb et vous suivez avec AQ. L’adversaire a 77. Le flop vient 6c J 2c sans tirage pour vous ni pour votre adversaire. L’adversaire bet.
Plusieurs solutions :
-vous êtes débutant et vous vous dites : « D’accord j’ai une main moins bien mais je peux coll et voir si j’aurais une dame ou un A » Vous ne savez rien aux cotes.
-Un autre joueur étudie les cotes et voit qu’il n’est pas intéressant de suivre, il jette donc sa main.
-Mais un joueur professionnel choisit de raiser, car l’adversaire n’a qu’une paire de 7, et le J ainsi que le tirage peuvent lui faire peur.
Il ne suffit donc pas de connaître les cartes de l’adversaire. Il faut aussi savoir prendre la meilleure décision. Pour utiliser la méthode REM il faut donc d’abord recueillir l’information, l’analyser(!), puis seulement après prendre LA décision la plus OPTIMALE.
Range
En réalité l’adversaire ne vous montrera jamais ses cartes. Il vous faudra donc analyser ses mises et actions. Vous aurez donc seulement une idée DES cartes qu’il peut avoir ou ne pas avoir. C’est pour cela qu’il faut accorder la plus grande importance à ces informations. Plus vous aurez d’information- meilleure sera votre décision.
Au NL Holdem il y a 1326 combinaisons différentes de mains de départ. Il sera donc nécessaire de réduire cet éventail à chaque action et à chaque street. (Il faut aussi observer les tours de jeu auxquels vous ne participez pas).
Plusieurs questions à se poser :
-Quelle range ils jouent préflop selon la position ?
-Est-ce que leurs mises préflop varient en fonction de leur main ?
A retenir :
N’essayez jamais de mettre une main concrète à votre adversaire. Mettez lui une range en vous basant sur sa position et ses actions.
Enlevez des mains au fur et à mésure des streets, de cette range
Vous pourrez préciser leur range en étudiant leur standards préflop, la continuité ainsi que la valeur de leur mises. Leurs actions par street avec des sortes de mains différentes.
Faites attentions à leurs mises même lorsque vous ne participez pas
Utilisez la position pour améliorer votre lecture.
Équité :
Introduction :
D’abord nous allons étudier la méthode de calcul de l’équité dans son ensemble. Ensuite nous allons voir comment simplifier son calcul pour une situation concrète. En pratique nous allons jamais avoir besoin de la calculer exactement.
Pour calculer son equité il faudra d’abord donc donner une range à l’adversaire, mais ensuite établir la probabilité de chaque main. Et ensuite seulement calculer son équité en pondérant les « équités intermédiaires » par leurs probabilités pour déduire votre équité globale contre cete range.
Théorie :
Pour prendre un exemple admettons que votre adversaire part à tapis préflop et vous avez AhKh.
Vous voulez donc savoit si c’est profitable de suivre. Vous considérez que votra adversaire part à tapis avec JJ+ et AK. Cela fait 27 combinaisons sur 1326 possibles. Vous pouvez enlever un A et un K à ces combinaisons.
Toutes ses mains ne sont donc pas équiprobables. Mettons donc toutes ces mains dans un tableau :
Connaissant votre équité vous ne pourrez suivre que si le pot vous propose une coté d’au moins 57,4-42,6, ou 1,35-1.
Méthode simplifiée :
D’abord vous devriez télécharger un programme qui peut calculer les equity des mains contre des ranges données. Un programme comme Pokerstove ferait très bien l’affaire. Dans le calcul d’equité les anciens ont trouvé un postulat : « Ne continuez pas le jeu si vous ête seulement faiblement favoris ou bien si vous êtes un « big underdog ». Cette affirmation n’est juste qu’à certaines conditions, mais la connaître serait un bon point de départ. Notre conseil sera donc : lorsque vous observez la range de votre adversaire pense d’abord aux mains contre lesquelles vous êtes un grand favoris et celles contre lesquelles c’est lui le grand favoris.Si sa range comporte surtout des mains contre lesquelles vous êtes un grand favoris, alors votre équité esst sans doute bonne. Par contre si sa range à plus de mains qui vous bat votre équité est sans doute mauvaise.
Par exemple : Vous raisez 20eu avec Ako(sans cœurs) avec les blindes 2/5 et des stacks effectifs de 500e, seule la SB call. C’est un joueur ABC. Le flop vient Kh7h4h ce qui vous donne TP /TK, mais trois cartes d’une même couleur au flop. La SB check vous bettez 25eu, votre adversaire raise 135eu. Posez vous la question si votre adversaire peut avoir une main contre laquelle vous êtes un grand favoris ? Avec une maiin comme KQ il n’aurait surement pas pris le risque de jouer de la sorte. Il n’y a effectivement aucune main dans sa range contre laquelle on est un grand favoris sauf un bluff pur. Mais on sait que notre adversaire n’aime pas bluffer. Mais ici vous savez être condamné sontre un set ou une couleur. Toutes les mains ayant une paire et un FD ont une equité semblable à la votre(exemple Ah7). Donc globalement la range adversse possède des mains avec lesquelle on est soit largement perdant soit en coin flip.Vous devez donc sans aucun doute folder, surtout étant donné que vous n’êtes pas attaché au pot vu que votre stack est grand par rapport au pot.
Pour calculer votre equité commencez par un bout de la range aadverse, pensez par rapport à quelles mains vous vous trouvez devant (ou derrière) et regardez votre equité ensuite regardé votre equité par rapport auxx mains restantes en considérant la quantité de cobinaison de chaue main.
Par exemple considerons que vous aves 77 sur un flop 8♦7h6♦ et vous misez, votre adversaire part à tapis. Vous voulez connaître votre équité. Pour commencer vous dever determiner la range adverse. Admettons qu’il est tight et qu’il peut raiser seulement avec un set suppérieur ou inférieur ainsi qu’avec une quinte déjà formée. Les deux sets s’equilibrent, mais vous êtes pérdant contre la quinte à 2-1. Du coup votre équité effective est de 37% vu que la probabilité que votre adversaire ai floppé la quinte est supérieure au set.
Maintenant nous pouvons rajouter quelques mains avec lesquelles norte adversaire voudrait semi bluffer. (A:diamonds:T, K:diamonds:T, Q:diamonds:T, J:diamonds:T, A:diamonds:9, K:diamonds:9, Q:diamonds:9 и J:diamonds:9), Et contre chacune de cette mains vous êtes favoris à 3-2. Chacune de ces mains augmente votre équité de 1% – votre équité passe donc de 37% à 45%. La plupart des mains qu’on a étudié : vous vous trouvez soit en coin flip soit largeement derrière.Voyons si vous êtes devant certaines de ses mains.
Admettons que votre adversaire pouvait aller AI avec TT+, cela rajoute une bonne quantité de mains contre lesquelles vous êtes un grand favoris.
Ainsi votre équité globale passe à 50%+,et vous devenez favoris. Il n’est pas obligatoire d’'avoir 50%+ pour continuer le jeu. Il vous faut donc une cote de pot suffisante seulement pour être EV+. Par exemple si vous aves 33% contre un adversaire à tapis il faut que le pot vous propose 2-1 ou mieux… Nous allons observer la corrélation entre la cote du pot et l’équité dans la partie suivante.
Folding equity
Folding equity – c’est l’équité que vous avez grâce à la possibilité du FOLD de vos adversaires. Le plus facile c’est de l’expliquer par un exemple :
Vous jouez un 9max NL200 avec un stack de 100eu. Vous avez A:diamonds:K au bouton:vous raisez à 12eu après un limper. La BB ainsi que le limper suivent. Au flop vous pouvez voir 8:clubs:3:diamonds:2, ce qui vous donne un FD max. La grosse blinde donk à 15 dans un pot de 37, le limper fold. C’est votre tour. Vous avez déjà remarqué que la BB est un joueur faible. Il est enclin à donk avec des mains marginales dans les premiers round. Son minbet veut souvent dire qu’il a une petite pocket ou bien une paire formée avec le board. Si vous suivez seulement, il va souvent checkeer à la turn. Contre une main comportant une petite paire sans A ni K vous avez 15outs, ce qui fait de vous un petit favoris. D’après la règle de 4 vous avez 60% d’équité(56% en réalité). Pour la simplification, mais aussi pour l’amélioration du calcul d’équité nous pouvons enlever quelques outs(A ou K) nous allons considérer que vous etes en coin flip. Nous pouvons donc voir que le call n’est pas la meilleure solution. Le call en EV=18,5eu. Mais en allant à tapis à 88eu si l’on considère que l’adversaire fold 50% du temps. La FEV=52/2=26. L’EV globale en situation de tapis sera donc égale à 36eu soit pratiquement 2 fois plus grande que celle du call.
Vu que seulement deu de mains vont jusqu’au showdown, la FE devient très importante au NLH. C’est justement pour cette raison qu’on vous a dit d’être agressif au NLH dès votre départ (n’est-ce pas?)
Mais votre fold équité va fortement dépendre de vos adversaires. Parfois vos adversaires vont jouer si tight que votre FE va devenir énorme. Dans d’autres cas vous en aurez pratiquement pas.
Mais faut savoir que si toutefois vos adversaires s’adaptent en optant pour le call plus souvent-aucun problème ils sauront vous payer lorsque vous aurez une grosse main, c’est d’ailleurs un principe important découlant de la fold equity.
Conclusion :
•La fold équité demande une grande expérience et s’apprend par la pratique.
• Calculez votre equité en fonction de la range adverse
• Pratiquez votre calcul d’équité grâce à des programmes informatiques.
•Utiliser la méthode approximative en considérant la partie de la range contre lesquelles vous êtes grand favoris, coin flip, ou largement derrière.
• Commencez la calcul d’équité à partir d’une main donnée pour ensuite l’ajuster grâce au reste de sa range.
• Ne négligez pas la FE
La Maximisation
M comme Maximisation.
Mettez une range à l’adversaire. Calculez votre équité contre cette range. Mais ensuite il faut maximiser votre EV ! La maximisation signifie le chois d’une action ou d’une série d’action qui va vous permettre de gagner LA plus grande quantité d’argent au long terme. Si personne n’a misé jusqu’à vous vos actions vont se limiter au bet et au check, mais si qqn mise vous aurez le chois entre call,raise,fold. Si vous décidez de raiser vous devrez aussi adopter un sizing qui vous permettra de gagner le plus possible sur toutes les street. En quoi une option est meilleure que l’autre ? Vous-êtes vous posé la question : qu’est ce qu’on peut espérer avec un call, check, fold, ou raise
L’effet du check :
Par exemple lorsque vous checkez en dernière position après tout le monde vous clôturez ou supprimez un tour d’enchères.Cela peut être utile si vous voulez controler la taille du pot. Le check à la rivière clôture totalement les séries d’enchères en dernière position, ce qui est particulièrement intéressant pour les mains qui ont une showdown value intéressante. Le check en late position dans les autres street permet à vous mais aussi aux adversaires de voir une carte gratuite. Ce qui est intéressant si ca vous est profitable : quand vous avez une main plutôt faible et peu de fold equity, lorsque vous pouvez considérablement améliorer votre main. Cela est particulèrement intéressant dans un pot multiway car c’est bien plus probable qu’un de vos adversaires choisisse le check raise. C’est vrais pour un une gutshot qui vous donnera un nuts, ou une petite pocket qui n’est pas une over, mais qui peut être très forte en touchant le set. Tout ceci étant donné que votre FE est faible.
Le check est aussi intéressant en early position lorsque vous floppez une TP mal kickée , et vous avez un adversaire agressif qui parle après vous. Cela va vous permettre de just call, et de pouvoir voir une street pour pas cher, sans se faire raiser et donc en controlant le pot.
C’est contre des adversaires très agressifs qui Cbet 100% des flops que cette technique s’avère particulièrement intéressante car vous poserez une colle à votre adversaire en effectuant un call.
Mais parfois vous voudrez pas laisser votre adversaire voir une carte gratuite, ou checker à son tour et c’est pour cela que vous déciderez de miser.
Les raisons de Bet ou Raise :
Le bet et le raise ont bien plus d’intérêts différents : se faire payer par moins bien, protéger sa main, gagner le pot de suite, faire folder une meilleure main, réduire le nombre d’adversaires, prendre de l’information(lol on m’a toujours crié le contraire) et plus encore.
La première question à se poser avant d’effectuer une action : « Je veux que mes adversaires jettent leurs mains ou bien qu’il me paient ? »
Les mises pour value : lorsque vous voulez que vos adversaires vous paient.
C’est une mise avec laquelle vous voulez vous faire payer par moins bien, ou au mieux vous faire raiser. En considérant que cette fois vous allez gagner plus qu’en checkant(qui aurait pu insiter votre adversaire à bluffer).
Le bon choix du sizing est très important pour maximiser votre gain. Plus vos adversaires sont prêts à payer quand vous êtes devant- plus vous allez gagner sur la distance.
Parfois c’est facile : avec une paire d’As sur un board A T 6 2 en HU ou en 3way.
En HU et avec un pot de 100 et des tapis effectifs de 50 le AI a toute sa place étant donné que le board est drawy. L’adversaire n’aura aucune main avec suffisamment d’équité pour vous payer.
Mais en théorie une mise plus petite peut aussi avoir lieu d’être. Mais mathématiquement une mise à tapis va maximiser votre EV.
Dautres fois ce ne sera pas aussi facile. :
Par exemple lorsque vous avez K:heart:Q, et à la rivière : K:spades:Q:spades:2:diamonds:K:spades:9. Vous avec un nuts et vous jouez contre un seul adversaire. Le pot fait 100eu et vous avez tous les deux 500eu. Un débutant pourrait se dire qu’il a une super mains et qu’il veut absolument se faire payer en mettant une mise que l’adversaire va à coup sur call, la mise à hauteur du pot lui semble donc correcte. Mais en réalité votre but n’est pas de se faire call, mais de maximiser vos gains étant donné TOUTE la Range de votre adversaire.
Mais quelle est sa range ? Imaginons qu’il puisse avoir un full, une couleur, une quinte un trips de K ou deux paires. Il va folder, call, ou raise en fonction de la force de sa main. La probabilité qu’il ait l’une ou l’autre des mains de sa range dépend fortement de comment s’est joué le coup.Quelles sont ses habitudes ? Mais voilà ce qui est important ici ; vous voulez dans l’idéal faire une mise maximale à laquelle votre adversaire saura répondre. Mais la plupart du temps vous ne connaitrez pas cette somme. Vos différents adversaires vont aussi réagir différamment a vos mises données. Si par exemple vous faites une mise de 50eu l’adversaire va call 80% du temps ce qui vous fera une esperance de 40%, mais si vous allez AI à 500Eu et que votre adversaire va répondre plus que 8% du temps vous gagnerez autant et si l’on considère qu’il va souvent ^tre suspicieux de cet AI et qu’il aura assez souvent une main forte, on peut penser qu’il va call plus que 8% du temps. C’est pour cela qu’un gros overbet est souvent meilleur qu’une petite mise à ½ pot. Beaucoup de joueurs ont du mal avec ces calculs car ne savent pas s’y orienter. S’il call 15% du temps ce sera bien plus profitable que le call du ½ pot 80% du temps.
Mais le AI peut vous sembler pas la meilleure option car 85% du temps vous n’allez rien toucher. Est-ce que le AI est donc l’idéal ? Pas nécessairement.La maximisation des gains demande avant tout de l’éxpérience. Mais vous devrez toujours pondérer la réponse de l’adversaire selon notre méthode et choisir celle qui maximise votre gain. Nous n’avons étudié que deux cas particuliès, il y a une infinité d’autres. Choisir la mise à la river n’est pas le plus compliqué. Ce sera surtout compliqué au fur et à mesure des streets. Nous allons voir le techniques dans le chapitre suivant.
Le Bluff : vous voulez sortir vos adversaires du coup.
Le bluff est l’antipode des mises pour value. Lorsque vous bluffez vous ne pensez pas detenir la meilleure main. Une règle empirique dit : « Lorsque vous bluffez faites la mise la plus petite possible sans enlever l’efficacité du bluff » Moins vous risquez-mieux c’est.
Pour un bluff efficace il faut donc se reporter à la partie sur la Range et sur la FE. Votre bluff devient de moins en moins efficace lorsque plusieurs joueurs participent au coup. Mais le bluff dépend aussi de votre adversaire. Certains pourront lacher TP/GK sur un board dangeureux, d’autres ne lacheront pas 3eme paire sur un board drawy.
Lorsque vous n’êtes pas surs :
Parfois vous ne connaitrez pas la range, l’equité, la fold equité. C’est normal. Moins vous serez sur de votre processus REM moins vous devrez effectuer de coups sortant de l’ordinaire et du jeu ABC.
Fold, call et raise avec des mains à tirages :
Pour les mains à tirages il y a déjà beaucoup de règles empiriques qui ne marchent pas à tous les coup, mais vont vous apprendre à reflechir, et seront un bon point de départ.
•Si votre équité n’est pas très élevée (car vous avez un petit tirage comme un Gutshot) vous devriez éviter les raise en semi-bluff. Le semi bluff tire sa force de la pot equity additionnée à la fold équité. Si votre pot equité est faible votre equité entière peut ne pas être assez grande pour compenser le risque. Vous devrez donc souvent choisir entre le fold et la call. C’est ici que faudra étudier vos côtes implicites. En fonction de votre stack et de vos adversaires(plus ou moins loose).
• Si votre pot equité est correcte ne jeter votre main que rarement. Ce sera à vous de choisir entre le raise en semi-bluff et le call. Le call avec beaucoup de cote implicite et le raise avec moins de cote implicite.
Conclusion :
La maximisation est un processus mental très important. Dans cette partie nous n’avons étudié que les bases de ce processus. Le reste de ce livre sera surtout consacré à la maximisation. Nous allons parler des action à effectuer lorsque vous aurez mis une range à votre adversaire et aurez fait une approximation de votre équité.