Cette partie me semble très importante car le joueur est indépendant et n’a pas les contraintes d’horaires fixes d’un salarié et il est facile de perdre le fil, de procrastiner où au contraire d’être poker H24 et il faut trouver un équilibre et la routine dans sa vie car un joueur n’a pas d’obligation d’interactions sociales contrairement à beaucoup d’autres professions d’indépendants.
Yep c’est la partie sur laquelle je galère le +, pas facile de trouver un équilibre quand son taff est à la maison. Y a toujours ce petit côté « je pourrais grind là tout de suite, est-ce que j’ai rien de mieux à faire ? », ou à l’inverse la flemme parce qu’on est à la maison.
Et oui tu fais bien de le souligner c’est assez solitaire, on passe sa journée tout seul devant son pc :p.
Aussi c’est très énergivore. Et le grind peut affecter l’humeur surtout pendant les bads run . De mon côté après une session intense, je suis un peu ko et faut pas me parler dans les 10 minutes qui viennent .
Je l’ai vécu et lorsque c’était pendant la session au moment où je me prenais un bad j’étais un sacré con exécrable, le pire de moi même , j’en étais conscient très rapidement et le travail mental était à faire impérativement pour moi et dans la continuité.
Yo, moi aussi je me suis lancé pro à l’arrache, avec une roll ridicule ça fait deux ans et demi
Le soucis si tu gagnes juste de quoi payer les factures, bah à la moindre galère, et j en ai eu des belles ces derniers temps, bah tu peux couler
Entre les factures et l’Urssaf, je ne sais pas ou j’en serai dans 3 mois…
Apres effectivement, ce que j’ai vécu jusque là en terme de voyages, liberté, rencontres, enrichissement (tout sauf financier lol) est extraordinaire, je ne regrette rien. Mais faut être prêt à assumer quand tout va mal, et ça c’est faut le vivre pour le conprendre
La question lui est posée et il lui appartient donc d’y répondre.
Mais je ne me souviens pas qu’ @stratege85 ait jamais dit ça.
Et encore moins qu’il le serait encore.
Pour le connaître, un peu quand même ( ) , je pense qu’il voulait juste dire qu’il avait joué « assez » au poker, en y travaillant etc, pour savoir les effets qu’un bad (beat ou run) peut produire.
C’est comme ça que je l’ai compris en tout cas.
Et puis s’il a été « pro », faut croire qu’il est (re)tombé bien bas, ou qu’il sait qu’on n’en sait jamais assez, puisqu’il suit (et participe) aux Blue cards, Green, etc.
Le bad beat est la météo, le bad run est le climat.
C’est surtout qu’on ne souligne jamais assez l’importance du mental et de ses effets, c’est la plus grosse inégalité entre des joueurs de niveaux équivalents et qui fera de l’un un gagnant et l’autre un perdant, on peut lire Jared, se faire accompagner, faire des routines et des exercices ou faire l’autruche, mais celle-ci ne pondra jamais des œufs d’or.
Dès que je vois une formation je m’inscris, même si je ne participe pas, CG, MTT, Expressos, Omaha Cuisine tout est bon (comme dans le cochon), maintenant tu m’as grillé, je ne pourrai plus faire mon rapport à la direction de PA et noter les coachs, je t’enverrai ma facture
L’urssaf ça s’anticipe par contre, sinon obv ça se passe pas bien .
Je ne dis pas de devenir pro à l’arrache, je dis juste que tu peux passer pro sans attendre d’être en HS ou de faire 10k/mois.
Oui. Et en plus, si on anticipe bien justement, l’avantage de passer « pro » (même si on se plante ou qu’on ne gagne pas des masses), c’est qu’on devrait pouvoir déduire une grosse partie de nos frais de voyages, séjours, etc, en dépenses professionnelles.
T’as bien raison.
D’ailleurs, je me demande si je ne vais pas commencer à y réfléchir aussi.
Quoi, qu’est-ce qu’il a mon niveau ?
Non mais faudrait savoir à la fin. Des fois on dit que ce n’est pas le plus important, que ça viendra si on le veut ou je ne sais quoi et des fois on dit quasi le contraire.
Quand ce n’est pas un peu tout, l’un dans l’autre.