[MP] : Sommes nous obligé de jouer au Poker?

Nous lisons souvent, lors des nombreux threads postés sur le forum les expressions suivantes :

-Si ça continue comme ça, je vais péter un câble.
-Je suis dégouté du poker.
-J en peu plus.
-Je vais burn out si ça continue.

Malgré le fait d exprimer une réalité , celle d un mental qui est sur le point de flancher, les gens prennent souvent consciemment ou inconsciemment la décision de continuer a jouer,Pourquoi ?
Sommes nous obligés de continuer coute que coute sans prendre le temps de réfléchir, de respirer ?
Savoir s arrêter ne fait il pas partie intégrante de ce jeu ou le mental est souvent mis a rude épreuve ?
S arrêter est il si honteux et souffrir doit il être la règle ?

Je me permet de vous posez la question afin de connaître votre avis mais aussi d attirer votre attention sur ce point.

A vous …

ah la la l’pouma :wink:
ben non on est obligé de rien en matiere de jeu mis a part si tu es addict et que tu ne te controle pas.
et il n’y a rien de honteux a arreter ou a descendre de limites
non mais… :slight_smile:

J suis bien d accord avec toi spif :slight_smile:
Mais la réalité est tout autre et nous lisons ça a longueur de journée des gars qui en on ras la patate mais qui continue a grinder avec un mauvais mental et cela se termine par un abandon alors qu une simple pause suffirait t je sais de quoi je parle :stuck_out_tongue: .

[quote=“puma, post:564648”]Nous lisons souvent, lors des nombreux threads postés sur le forum les expressions suivantes :

-Si ça continue comme ça, je vais péter un câble.
-Je suis dégouté du poker.
-J en peu plus.
-Je vais burn out si ça continue.

Malgré le fait d exprimer une réalité , celle d un mental qui est sur le point de flancher, les gens prennent souvent consciemment ou inconsciemment la décision de continuer a jouer,Pourquoi ?
Sommes nous obligés de continuer coute que coute sans prendre le temps de réfléchir, de respirer ?
Savoir s arrêter ne fait il pas partie intégrante de ce jeu ou le mental est souvent mis a rude épreuve ?
S arrêter est il si honteux et souffrir doit il être la règle ?

Je me permet de vous posez la question afin de connaître votre avis mais aussi d attirer votre attention sur ce point.

A vous …[/quote]

peut etre que pour certain le poker est devenu pour certain une forme de dependence et ceux ci refuse de le reconnaitre…

le gars qui saura faire une pause sera pas dependant a mon avis
donc j en conclus que le gars qui n arrete pas de se plaindre et refuse de lacher est dependant…

pour repondre clairement et sans argumentation a la question “sommes nous obligés de jouer au poker?”
la reponse est quoi qu’on en dise non dans le sens ou c’est loin d’etre un besoin primaire :slight_smile:

[quote=“puma, post:564648”]
Je me permet de vous posez la question afin de connaître votre avis mais aussi d attirer votre attention sur ce point.

A vous …[/quote]

On ne joue pas tous pour les mêmes raisons, mais le poker reste une activité cruelle où le fait de “bien” jouer n’est pas toujours récompensé, d’où la frustration et le dégoût si une période de malchance a tendance à durer.

Je pense simplement, à titre d’exemple, que le mental du quidam n’est pas apte à encaisser quatre ou cinq bad beats de rang, tant il aimerait que les choses se passent “logiquement” :slight_smile:

L’addiction est là et l’inavouable envie de se refaire taraude l’esprit de l’infortuné.

Soyons un tantinet pragmatique : sur le long terme, le joueur gagnant est celui qui va profiter de la fragilité technique et mentale de ses adversaires.

(je précise que je ne pratique moi-même qu’aux plus petites limites et que mon plus grand défaut consiste à relativiser autant les victoires que les défaites :wink: )

En définitive, seule ma grande bonté d’âme me poussera parfois à conseiller au joueur lambda d’arrêter définitivement le poker, si il tient vraiment à ne plus souffrir. :slight_smile:

[quote=“nwoown2, post:564689”]
peut etre que pour certain le poker est devenu pour certain une forme de dependence et ceux ci refuse de le reconnaitre…

le gars qui saura faire une pause sera pas dependant a mon avis
donc j en conclus que le gars qui n arrete pas de se plaindre et refuse de lacher est dependant…[/quote]

Entièrement d’accord sur le premier point. Après je ne pense pas que savoir faire une pause montre que l’on n’est pas dépendant. L’addiction reste toujours présente je pense, plus ou moins forte selon les personnalités.

Et voila, Puma touche du doigt le point essentiel pour moi (ça fait plusieurs threads d’ailleurs que je retrouve dans les interrogation du sympathique félin mes préoccupations actuelles :slight_smile: )

Alors quel est l’état d’esprit vis à vis du poker (le mien en tout cas, c’est le sujet que je connais le mieux…ou le moins bien…selon les jours :wink: )

Oui il y a dépendance. Et même forte dépendance. Dépendance d’ego et de nerfs surtout.
Ca se traduit, comme toutes les dépendances, par une alternance de “j’arrête tout”, puis “je reprends sereinement et je vais gagner”, suivi de “le mauvais sort s’acharne et contrarie ma motivation mais je suis maintenant blindé mentalement”, conduisant à “putain c’est pas possible, c’es truqué, j’arrête ce jeu de loto”.

Mais on n’arrête jamais vraiment.

Je suis personnellement dans un cas que je n’ai pas connu en 2 ans et demi de pratique, c’est à dire le bad run permanent depuis 2 mois. Passons sur les discours habituels sur les erreurs, le jeu dégradé en tilt, etc. C’est totalement vrai mais ca fait partie du tableau global.
Le fait est qu’il m’est impossible de remonter la pente, et ce quelle que soit la limite.
Je ne whine pas ici, j’essaie d’analyser le pourquoi du comment et surtout, comme le dit Puma, pourquoi il est si difficile de tirer un trait et de passer a autre chose.

Toute personne sensée dirait, ça ne marche pas, je m’use les nerfs comme jamais dans aucune autre activité, je deviens désagréable avec mon entourage, les tensions augmentent, je tue des souris par dizaines )ok, j’exagère un peu là :stuck_out_tongue: ), il faut arrêter (en fait une personne sensée aurait arrêté bien avant).

Par exemple, je jouais au Loto pendant quelque temps. Aucun gain, j’ai stoppé sans problème. Après tout, je n’étais pas “obligé” de jouer au loto.
Mais là, au poker, qu’est-ce qui est différent ? L’ego.
Au loto, on partage le sort de perdant avec des millions de gens, ca fait partie du jeu de hasard, on n’a pas bossé pour tenter sa chance, rien à espérer là dedans.
Mais là, au bout de X suckouts face a des joueurs visiblement mauvais, l’ego explose.
ON a bossé, on a étudié, revu ses sessions pendant des heures, mais on ne s’en sort pas face a cette foutue chance ou variance ou quel que soit le nom qu’on lui donne. Insupportable quand ça dure, illogique, incompréhensible, injuste.

Et cette frustration immense, vécue comme une vraie injustice, nous empêche de considérer les choses pour ce qu’elles sont, grosso modo “qu’est-ce que j’en ai a cirer d’avoir perdu 5 buy-ins d’affilée à 2€ chacun” alors qu’en fait c’est un vrai drame car ca recouvre tout ce sentiment d’acharnement du sort et l’incompréhension totale face à ce qui nous arrive.
DU coup, au lieu de capituler (l’ego, toujours l’ego), on se rebelle, on y retourne, on est en effet “obligé” de jouer pour battre le système, rejoindre ces mecs qui brag sur les forums et qui font des gains réguliers sans donner l’impression de mieux jouer que la moyenne des joueurs dont on fait partie.

C’est une addiction totale. Pas une addiction de gambler, avec les risques financiers qu’elle implique, mais une addiction de l’ego, un refus permanent d’accepter la défaite face à ce mélange de variance, d’erreurs et de tilt.

Oui, obligé de jouer en se disant, dès que j’ai prouvé (mais à qui d’ailleurs à part soi même) que je peux remonter et faire des gains, j’arrête.

Il y quelque mois, j’ai fait mon unique perf en finissant 2eme d’un 50€ BI sur Barriere.
Du coup, un petit gain sympa de quelques centaines de brouzoufs, j’ai arrêté de jouer pendant quelque semaines avec le sentiment d’avoir “accompli quelque chose” :sick: L’ego encore.

Depuis décembre, période noire dans tous les secteurs. Davantage de suckouts et de flips perdus qu’en 2 ans de jeu. Conclusion: je dis partout que j’arrête, à des gens qui s’en foutent sur le forums, mais en fait je sais que je vais continuer à jouer.

Cherchez l’erreur…

Alors oui, si on prend la question de puma non pas au 1er degré spifen (car on n’est jamais “obligé” de rien dans la vie), mais au degré ou il la pose, je dirais oui, on est obligé de jouer par notre ego.

C’est en tout cas mon point de vue de loser tilteur éternel pour qui le poker est une expérience étrange, déstabilisante et pas encore enrichissante (ni au sens propre, ni au sens figuré).

Désolé pour la tartine indigeste, mais Puma a touché le point sensible et j’avais besoin de m’exprimer sur ce sujet qui me perturbe dans un environnement non hostile pour changer :wink: :wink:

Bon, break pour moi d’une semaine de vacances, sans poker, on verra au retour si je suis toujours “obligé” de jouer.

Ciao

PierreLo :silly:

Non personne n’y est obligé , je vois ce que tu veux dire mais ce sentiment de frustration on l’a tous vécu et malheureusement il fait partie du jeux ! On est pas obligé de jouer mais si l’on souhaite lisser la variance et degager des benefices alors perseverer et relacher un peu la pression en whinant un coup ne me paraissent pas si grave que cela , de la a faire un parrallele avec une pseudo dependance ca me parait un peu extreme . Imo c’est comme toutes les choses de la vie , on est jamais obligé a rien dans l’absolu mais si on s’arrete des que cela deviens difficile on arrive jamais à rien .

Le poker est une drogue, aussi addictive que la cigarette ou la coke.

Je suis conscient d’etre un junky du poke ms ce qui est classe au poker, c’est que notre drogue peut nous permettre d’en acheter d’autre.

Donc puisqu’on est tous plus ou moins accro autant bosser son jeu le plus possible chercher a etre gagnant pour moins perdre notre tps et notre santé :wink:

Ici je parle de faire une pause.

J explique le fond de ma pensé :

Je pense que dans l inconscient collectif des passionnés de poker (on line dans ce cas) un bon joueur est un pratiquant qui continue malgré les difficultés et cela a tout prix et c est en partie due a une mauvaise interprétation du discours servi - si tu veux réussir il faut que tu t accroches et que tu morfles, c est pas facile et si tu veux y arriver va falloir souffrir.
Je suis d accord sur le fait que le poker n est pas facile et que cela demande beaucoup de travail, mais je ne pense pas qu il faille être aveugle et y laisser sa santé mentale ou du moins sa joie de vivre, sous prétexte de se donner a fond - Dans toute entreprise aussi difficile soit elle savoir récupérer fait parti du travail.
Et c est la ou je suis d accord avec Pierrelo, l ego y est pour beaucoup et est facilement EXPLOITABLE.
De plus, je pense et cela n engage que moi, que le monde du poker est un MONDE A INFORMATION IMPARFAITE ou la vérité a du mal a trouver sa place. Quand tout parait si facile, j ai tendance a penser que derrière le rideau la vérité est tout autre et l envers du décor pas si joli.
Tout ça pour dire, que si on ressent des difficultés, il faut pouvoir se permettre d arrêter un temps pour récupérer car je suis certain que même les joueurs que nous admirons tant savent prendre leurs temps.
Ne pas arrêter quand on en a besoin, c est comme ne pas manger quand on a faim, c est simplement contre productif et tout comme il existe des camés du travail persister quand arrêter est de mise, c est tout simplement ouvrir la porte a un comportement irrationnel comme je le soupçonne en higt stackes par exemple… tout comme fold, arrêter est parfois la plus judicieuse des solutions a un instant T … jusqu’à la prochaine donne.

Il ya également cette notion de plaisir qui est sous-jacente et fondamentale lorsqu’on joue.

Cette recherhche de plaisir au poker est très comparable à toute addiction (et notamment aux drogues)
On joue, certes pour gagner de l’argent mais surtout, à mon avis, pour retrouver des sensations de plaisir intense.
Et je pense que c’est à ce moment là qu’on est dans l’addiction, car on ne joue plus simplement pour se faire plaisir en jouant, mais plutôt comme quelq’un de blasé qui ne se fait pas particulèrement plaisir dans ses gains (notamment parcequ’on en veux toujours plus)
Un exemple qui exprime notre frustration et notre impuissance face au jeu, on ne retient souvent que les bad beats que l’on a ^pris alors que ceux que l’on met c’est normal.

D’ailleurs un joueur de poker pro, amateur aguerri en quête de performance ou toute personne qui s’investit au poker à son niveau, sera toujours frustré, car il recherchera une maîtrise consciente ou pas, d’un jeu et surtout de ses résultats qu’il ne pourra jamais avoir (ce qui serait le plaisir ultime, le paradis perdu en quelque sorte)
La démotivation, la dépression, l’envie d’arrêter (tout en continuant à jouer) sont les étapes inévitables, à mon avis, de tout les joueurs qui s’investissent à ce jeu.

C’est d’ailleurs un thême relativement tabou, notamment au niveau des très gros joueurs pros.

Désolé, je ne sais pas si j’ai exprimé clairement mes idées :frowning:

Imo les joueurs qui sont au bord du burn out and co et qui continuent, c’est surement qu’il pense avoir été victime de la variance (qu’elle s’acharne sur eux) et donc pensent (peut-être à tort) qu’ils vont se refaire!!

Après non tu n’es pas obligé de jouer, comme tu n’es pas obligé de fumer, boire etc… Mais ce jeu comme dit plus haut engendre une certaine forme de dépendance vis à vis de l’adrénaline et du stress occasionnés. Et je pense que c’est a chacun de faire son choix (encore faut-il en être capable) d’être frustré parce qu’on joue pas ou frustré parce qu’on a perdu pour ton cas cité!! :smiley:

Et imo si tu continues de jouer malgré un mal être c’est que t’es pas au top de ta forme mentale (tilt spotted)et donc les conséquences sur ton jeu seront désastreuses (jouer des coups pour se refaire, payer a contre coeur dans certains spots etc…)

PS: quand je dis “tu” c’est pas “TOI perso” hein!? ^^

[quote=“nwoown2, post:564689”]
peut etre que pour certain le poker est devenu pour certain une forme de dependence et ceux ci refuse de le reconnaitre…

le gars qui saura faire une pause sera pas dependant a mon avis
donc j en conclus que le gars qui n arrete pas de se plaindre et refuse de lacher est dependant…[/quote]

C’est tout à fait exact, à part peut-être pour ceux qui en vivent et qui n’ont pas d’autre choix que de continuer.

Pourtant, faire une pause, même très courte, cela fait du bien :wink:

Tes posts sont très interessants car ils permettent de partager son experience.

Arreter? mais pourquoi arreter? cette question ne m’est jamais venu à l’esprit :silly:
Des bad runs, des bad beat, du Z game, du tilt … c’est ça le poker aussi.

Il faut savoir prendre du recul, avoir le sourire quand on prend un bad. Je suis assez fataliste, un peu comme les hindous, je ne cherche pas à aller contre les evenements mais plutot à les accepter.

Et plutot que d’arreter je descends de limite, je change de room, …

Maintenant suis-je addict? Peut etre je sais pas répondre, je joue quasi tous les jours, je dorts qqs heures par nuit, j’ai du mal à faire un week end sans PC… mais j’ai une famille et mes enfants seront toujours ma priorité, je prends le jeu comme un plaisir et surtout un moyen d’arrondir les fins de mois.

Pas de pretention de gagner un gros tournois (c’était à mes débuts), pas de bataille d’ego je reconnais facilement qu’il y a des joueurs plus forts que moi et je les évite.

Voila pour résumé : accepter, prendre du recul et garder confiance en son jeu!!

Tu as pense au coaching Puma pour te redonner confiance :wink:

Et le plaisir il est où la dedans ? Le poker est une passion avant tout, je ne comprends pas qu’on le compare à une drogue, j’ai été dépendant aux clopes aux pétards mais je ne me suis jamais inscrit sur un forum de fumeur.

Pour moi si on est là c’est que le poker est une passion et je trouve ça normal de pas avoir envie d’arrêter. Après c’est une passion très dure à pratiquer, le hasard y a une place énorme, c’est normal d’avoir envie de faire une pause de temps à autre. L’égo et tout, c’est le même que pour un joueur de foot ou de Call of Duty.

Puma pour moi tu pose une fausse question, parfois on joue en se sentant obligé de jouer de la même manière qu’on va travailler des jours où on a pas envie, qu’on va diner chez ses beaux parents… C’est la vie, on laisse pas tout tomber pour une journée (périodes) par ce que sur le long terme c’est insignifiant. Aucun joueurs ne jouera plusieurs mois sans en avoir envie.

Pour le premier point, “this quoi !” (comme dirait un certain médicament pour soigner les soirées arrosées)

Pour le deuxième point, j’aime bien la bataille d’égo, ça me fait réfléchir pour jouer encore mieux. Mais bon, une table sans fish, ce n’est pas une vraie bonne table de poker :slight_smile:

1- Stepholie :
Non, je n ai pas pensé au coaching, pour la simple et bonne raison que j ai fait le tour de la question. Pour moi, le poker ne doit être que du PLAISIR et ce n est pas négociable.
Avec le temps j ai appris a lever le pied et c est ce qui fait qu aujourd’hui je suis encore sur poker académie.
J ai arrêté, pris le temps de souffler, réfléchi a tout cela et j aimerais simplement que certains prennent le temps de se rendre compte que l option face au poker n est pas binaire mais qu il en existe une autre qui permet d allez beaucoup plus loin, celle de la pratique d une passion dans le sens le plus pure du terme et que malgré sa difficulté le PLAISIR peut y être de tout les instants a condition de s en donner les moyens, malgré les aléas.

2- Alan 406 :
Malgré peut être un titre volontairement formulé pour faire réagir, je pense sincèrement que l on oublie parfois que cesser de jouer est une option. Une souffrance existe c est une réalité puisque les gens se plaignent que se soit pour de bonnes ou de mauvaises raisons.
Dans la majorité des cas, le poker est une activité frustrante qui demande une clairvoyance de tout les instants. Comment peut on être lucide quand on est frustré ? C est vraiment contradictoire, non ?
Au fait je pense que l on ne peut jouer au poker que lorsque l on joue son A game sinon comment évaluer la situation, la range adverse quand on est au bout du rouleau ?

3-Bigomr :
Je ne pense pas que le poker soit une drogue, il est avant tout un JEU et pour certains un travail.
C est ce qu on en fait de lui, qui peut faire de cette activité une drogue , mais c est tout aussi vrai dans le travail ex : Golden boy , certaines études ont démontré que certains étaient devenus des camés du travail ( de plus après plusieurs années de pratiques ces personnes étaient complètement vidées et incapable de soutenir toute forme d activité).

Bien sur que le poker est une drogue, pourquoi les stars aiment tant, c’est parsqu’il procure de l’adrenaline et on y est vite accro,

Le sport aussi est une drogue , le chocolat etc après c’est ce qu’on en fait…
Certains boivent pour le plaisir… Certains jouent pr le plaisir…

Après au sujet des pauses j’en prend quasiment jamaais mais c’est une grosse erreur car parfois on gagne plus en ne jouant pas…

Je m’explique , euh jai pas de truc theorique la dessus, mais il m’est arrivé il ya longtps de perdre des sommes importantes de ma bankroll en tilt sur des limites k je ne maitrisaient pas du coup ca devenai trop dur de repartir des plus basses limites pour me refaire et pouvoir cashout ( jen vivais deja a l’epoque)

Du coup jme barait un week end chez des meufs et bizarrement kan j revenait tout est oublié et on repart plein de motiv.

D’ailleurs si quelqu’un a une explication pour ca, comment se fesse qu’on oublie aussi vite au poker.?. Le soir on en a marre le lendemain on est pressé de jouer…

Si ca c’est pas une drogue!!!

[quote=“bigomr, post:564742”]la coke.

[/quote]

la coke c’est pas une drogue c’est un médicament bigo, dis pas n’importe quoi :laugh: