- 12 juin 2013
- petiteglise
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Après la fermeture des cercles Wagram, Eldo, et Haussmann à cause de leurs liens avec le grand banditisme corse, les salles clandestines ont prospéré dans la capitale. La PJ vient d'en démanteler deux de plus, tenues par des femmes dans le XIIIè.
La fermeture de cercles de poker légaux
En 2011, trois grands cercles de poker parisiens ont fermé : le Cercle Wagram, son petit frère l’Eldo, et le cercle Haussmann. L’affaire Wagram, impliquant plusieurs mafiosi corses et des personnalités politiques est encore dans tous les esprits.
Avec l’amoindrissement de l’offre légale, se sont développées les salles clandestines. Que ça soit dans des bars qui se transforment en salles de poker une fois les volets fermés, dans des clubs de jeux tels que le bridge ou les échecs qui proposent également des parties de poker, ou dans des appartements privés , les joueurs parisiens ont un large choix de parties clandestines.
Deux salles de poker clandestines démantelées
Deux femmes viennent d’être arrêter par la PJ de Paris, soupçonnées d’organiser des parties clandestines dans deux appartements du XIIIè arrondissement de la capitale. D’après MyTf1News, plusieurs millions d’euros auraient été échangés.
Depuis 2011, la police ferme environ un tripot par mois. Sans parler des arriérés d’impôts, les organisateurs risquent jusqu’à sept ans de prison et 300.000€ d’amende. De quoi sérieusement envisager la nouvelle piste de l’association, comme l’a fait le récent Poker Club Wilson à Toulouse.